« Alors qu’il devait profiter de sa cérémonie de mariage, Sôsuke, l’ex de Koyori, demande à parler à Hijiri. Malgré ses réticences, ce dernier accepte, sans se douter que cette conversation va l’encourager à franchir un nouveau cap dans son couple. Mais est-ce vraiment le bon moment ? Et surtout, Koyori est-elle aussi prête que lui à sauter le pas ? »
Ces tomes sept et huit marquent la fin d’une série que j’ai au départ beaucoup appréciée, avant que mon avis se détériore peu à peu. Et ces derniers tomes sont à l’image de cette impression, entre un drama inutile et maladroit, une overdose de scènes de sexe, moments tendres et marrants et joliesse des dessins. Ici, le couple Koyori/Hijiri va se retrouver aux prises avec l’amour longue distance et le difficile choix entre vie privée et ambitions professionnelles. Kujira se vautre littéralement dans tout ce qu’il ne fallait pas faire, là où elle aurait pu décortiquer avec délicatesse ce qui aurait pu finalement être qu’une petite embûche sur le chemin de ce couple très amoureux.
Heureusement, l’humour (le complot des pères ☺️), le trait de Kujira et l’amour que se portent nos deux héros sauvent cette fin de la catastrophe !
En conclusion… Switch Me On s’achève en demi-teinte, avec ces deux tomes qui sont la quintessence de ce que j’ai aimé et détesté dans cette série. Toutefois, la modernité qui en émane est rafraîchissante.
↪ L’avis des Blablas de Tachan sur toute la série !
Les Mots de Mahault 
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